L’herbier de J.F. Oberlin est un témoin exceptionnel du patrimoine végétal du XVIIIème siècle. Sa dimension scientifique fait déjà écho à des préoccupations de préservation de la biodiversité. Mais au-delà de la botanique, de la phytothérapie ou de la pédagogie, l’herbier évoque surtout la relation profonde et intime qu’entretenait J.F. Oberlin avec la nature. Chaque plante cueillie se doit d’être accueillie comme une confidence audacieuse parfois teintée inquiétude.
Douter
Asplenium ruta muraria; sauve-vie; perce-pierre, rue de muraille.
Juillet 1794.