L’air sans mouvement, sinon un faible souffle…

La nature a été une source d’inspiration constante pour  J.F. Oberlin.
Elle est un lieu de communion intemporel entre l’homme et l’esprit. Les mots et les images qu’elle inspire sont bien plus qu’une expression artistique, ils participent à cette intuition où demeure « du mystère et du caché, comme dans tous les autres phénomènes de la nature. Tout porte l’empreinte d’un créateur infini en invention en sagesse et en puissance. »*

 

Les poèmes de J.M.R. Lenz et Marie Scheppler (1896-1980)  sont une invitation à la contemplation de ce divin ordre naturel.

 

Les photographies de Stéphane Spach racontent les images qui habitent leurs esprits .